Articles étiquetés "Poésie"

Nouvelle collaboration avec la photographie!

Le livre des constellations n’est pas un livre habituel…

ATELIER D’ÉCRITURE
VEVEY, MARTIGNY
De la poésie des toutes petites choses…
PROJET EN COURS

ATELIER D’ÉCRITURE
VEVEY
Des pieds de vignes aux pieds de poésie, vendangeons ensemble la poésie et buvons ses mots!
PROJET ACHEVÉ

Les mondes intérieur et extérieur de Taddeo entrent en collision: Architexture est un essai sur l’hypersensibilité sous la forme d’une nouvelle.

Écrire en s’inspirant de l’œuvre d’autrui est un défi à la délicatesse. La recherche de la résonance, au-delà des ondes visibles. En un mot: expérimental.

Ce long poème est une promenade méditative dans un paysage à la fois intérieur et extérieur. N’emmenez pas de carte: il est parfois bon de se perdre.

Si vous deviez ne choisir qu’un mot, un seul, pour vous accompagner dans la vie, lequel serait-ce?

Écriture improvisée en compagnie d’une danseuse, d’un musicien et d’une dessinatrice…

Portrait d’une rencontre. Profondeur d’un instant.

Un livre tout entier à télécharger gratuitement!

Ce poème a été écrit lors d’un atelier « Carte blanche » avec François Debluë à la Bibliothèque municipale de Vevey, à partir d’une mise en regard du « Tres de mayo » de Goya et d’un paysage lémanique de François Bocion, ainsi qu’en pensant à Stéphane Hessel.

Ce texte a été écrit pour une série de dessin de Zeinab Aghamahdi.

Comment transcrire en mots les émotions et réflexions surgies pendant un spectacle? Exercice fragmentaire d’une expérience du vivant.

Il existe toutes sortes d’objet qui se perdent quotidiennement et dont la disparition est aussi dramatique qu’un doudou pour un enfant. Toutes sortes d’objet.

Il faut parfois danser une musique pour la comprendre. Il faut parfois dessiner le silence pour l’entendre.

Extrait de mon premier livre intitulé « L’onde impatiente »… pour patienter à l’approche de sa parution!

Interlude nocturne en lune mineure.

C’est si bon de laisser naître les mots. Les laisser téter la vie. Notes sur le vif. À vif.

Retour en enfance… de l’amour. Premier poème amoureux, parmi les quelques écrits sauvés de mes carnets de jeunesse.

Inspirer. Sens n°1: faire pénétrer l’air ou un gaz dans les poumons. Sens n°2: créer chez quelqu’un, en particulier chez un artiste, un état privilégié qui lui favorise la création, l’imagination, l’invention. Photo-poème doublement inspiré.

Dans le style d’un bulletin météo, écrire celui d’un autre élément que le temps qu’il fait. Peupler la vie quotidienne d’autres ciels, déceler ici-bas les traces d’un empyrée.

Un poème écrit il y a une quinzaine d’années, à la charnière entre l’adolescence et l’âge adulte, à l’époque où je n’avais pas encore découvert la Suisse, mais fuyais déjà Paris en pensée.

Les haïkus sont des poèmes d’origine japonaise, composés de trois vers. Je les conçois comme des caresses, des chatouilles, des malices pour regarder le monde autrement, tendrement, le temps d’un instant. Écrire des haïkus rend la poésie des petits riens quotidiens très addictive. Essayez et vous verrez!

Comment habitez-vous le monde? Moi, j’habite les mots.

Écrire sur écrire. Surécrire. Autoportrait en action.

Collection amoureuse de mots. À partager, méditer, compléter selon vos envies.

Météo morose, cœur sous hypnose: embrassez de vos lèvres rouges le blanc du Léman et le rose de la vie ré-apparaît. Dans un train un matin, entre Vevey et Lausanne… ou peut-être n’importe où ailleurs.

Dessine-moi… comme si tu tenais l’univers à la pointe de tes crayons.
Poème accompagné d’un dessin de ma mère, que je regarde chaque soir en me couchant et chaque matin en me levant. L’abandon serein.

« Mentalement et socialement, pour apprendre une autre langue, vous devez repasser par l’enfance. »